Le travail des professeurs et de leurs élèves fut cette année encore bouleversé par la pandémie. Pourtant, ne tenant aucun compte des difficultés de la période, le ministère a continué d’imposer sa réforme à marche forcée. Il a en outre vidé l’épreuve de philosophie de son sens, et contraint les enseignants à une correction dématérialisée, alors même que les outils pour la mener à bien n’étaient pas prêts.
Au terme d’une session de baccalauréat chaotique, qui a indigné et épuisé tous les agents du ministère, l’APPEP estime que l’un des enjeux de la prochaine année scolaire sera d’empêcher la disparition de cet examen national.
Elle donne aujourd’hui la parole aux professeurs de philosophie afin qu’ils fassent connaître leur expérience et leur avis.
L’APPEP appelle tous les professeurs de philosophie à répondre à son enquête.