Le blog de l’APPEP est un espace de réflexion libre. Sa vocation est d’offrir une respiration à tous les professeurs de philosophie, qu’ils soient ou non adhérents de l’association, ainsi qu’aux étudiants en philosophie. Les textes peuvent porter sur un film, une pièce de théâtre, un tableau, une lecture, une anecdote de la vie quotidienne, un paysage, un voyage, un sujet d’actualité, etc., mais aussi rendre compte d’une expérience concrète d’enseignement. Aucun sujet n’est a priori exclu, y compris le plus inattendu, pourvu que le billet témoigne d’une interrogation philosophique susceptible de susciter la réflexion de ses lecteurs. Aucune forme n’est imposée, pourvu que le billet soit relativement bref (entre 3000 et 10000 caractères) et intelligible par tous.
Le billet doit présenter une forme libre. Cela signifie qu’il ne doit pas emprunter la forme, le ton ni la teneur d’un article savant ou d’un article de pédagogie. En ce cas, si l’auteur le souhaite, il sera éventuellement adressé à la revue L’Enseignement philosophique.
La publication des billets est soumise à l’approbation du comité de lecture du blog. Les lecteurs peuvent écrire un commentaire dans l’encart prévu à cet effet. Les billets comme les commentaires sont soumis à la législation sur la presse, notamment la loi de 1881. Pour prendre connaissance de la charte du blog, cliquez ici.
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Membres du comité de lecture : Karine Cardinal, Romain Couderc, Michel Delattre, Sandra Mevrel, Marc Pavlopoulos, Marie Perret
Descartes solipsiste ?
Le sujet cartésien a-t-il besoin des autres pour penser ?
Lucidité et pessimisme
Le mois de janvier fut celui des traditionnels vœux du nouvel an. Pourtant, depuis quelque temps, ce rituel sonne étrangement.
Se perdre pour mieux se retrouver
« Se perdre pour mieux se retrouver », dit-on. Vraiment ? Mais au fait, quand on se perd, que perd-on ? Et si plus tard on se retrouve, que retrouve-t-on ?
Laisser sa trace
Le skieur de fond, jusqu’à présent, ne rencontrait que peu le skieur de descente ; mais le manque de neige le conduit de plus en plus vers des altitudes où désormais il le croise.