On pourrait commodément faire de Pierre Hadot un traducteur du grec, un érudit antemoderne, ou bien encore le philosophe d’un art de vivre pour époque en crise, en quête de spiritualité, hésitant entre épicurisme, stoïcisme ou bouddhisme. La philosophie comme manière de vivre, que revendique Pierre Hadot, serait en somme une technique du bonheur, à ranger au rayon « développement personnel » des librairies.
Tel n’est pas notre point de vue…